2010-09-23

One day in Boston, Massachussetts, VF

Pendant le mois d'Août, je suis allé avec un couple d'amis à Boston. Pour vous donner une idée, il faut six heures (sans s'arrêter) pour aller de Newark à Boston, en respectant les limitations de vitesse (enfin à peu près). C'était bien parti, nous étions dans les temps, et ... vers la fin, évidemment, évidemment, il a fallu qu'il y ait des bouchons. Résultat, au lieu d'arriver vers 13h30/14h00, nous sommes arrivés à l'hôtel vers 16h30/17h00... Mais c'est pas grave !  
Le premier soir (à défaut de première après-midi [1]) nous nous sommes
simplement baladés en centre-ville. Nous avions décidé d'aller voir un peu mieux
la ville le lendemain, et un ou deux musées. J'en fais part à S., qui avait déjà
visité les lieux. Sa réponse a été immédiate : si nous ne suivions pas la red
line
pour notre journée de tourisme, il nous ferait subir les pires outrages, à
tous les trois. Du coup, après concertation, nous avons décidé que nous pouvions
tenter le coup.


Comment reconnaître une ville vraiment cool et suffisamment ancienne ? C'est
simple, il suffit d'essayer de conduire dans la ville. C'est là qu'on s'aperçoit
que certaines rues sont juste trop étroites pour pouvoir y tourner, qu'il y a
des sens interdits un peu partout, et aussi le machin GPS a tendance à raconter
n'importe quoi. On a aussi droit à un système de métro décent et relativement
abordable.

HARVARD

Devinez qui c'est... :-)
Nous avons aussi eu le temps de visiter le (petit) campus de Harvard le premier
soir. Pas grand chose à dire en fait: bâtiments faits de briques rouges, une
impression de constructions « tassées », et le tout pas très joli.
















RED LINE

Sinon, nous avons effectivement suivi la Red Line... À notre manière. Une fois
dans le centre-ville, nous commencé à suivre la ligne rouge. Peu de temps après, la pluie a décidé de faire comme nous. Ô joie. Sous une pluie batante, nous nous sommes engagés sur les ponts, trottoirs, chaussées... Pour arriver ...

... Au début du parcours. Ben oui, quand on part du centre-ville, et qu'on ne vérifie pas où commence le chemin, on se retrouve bête, à remonter le cours de l'histoire. Je vous ai dit qu'en plus, il pleuvait ? Tant et si bien que nous sommes revenus sur nos pas (bien obligés), puis avons trouvé un restaurant italien vraiment très chouette (mais qui prend que du cash, grrrr). Cependant il a tellement plu que nous avons fini dans un magasin de souvenirs ... pour acheter des t-shirts.
C'est mon regard quand 1000 litres d'eau me tombent dessus toutes les 30 secondes.

La fin de la ligne rouge

MIT
Après la ligne rouge, il nous restait suffisamment de temps pour aller voir du côté du campus du MIT. Nous n'avons pas vu grand chose à vrai dire. Enfin, pour être précis, au détour d'un immeuble, nous sommes tombés sur une rue assez surprenante : chaque bâtiment qui la compose a son architecture propre. Tel immeuble est « transparent », tel autre a une architecture pour le moins bizarre. J'ai une photo de la rue en question, prise avec mon téléphone
portable. Dès que je pige comment les transférer, je les rajoute (oui, ça peut prendre un bon moment).



Bon mais sinon, c'était bien ?

Oui. J'ai beaucoup aimé la ville. Traitez-moi de pervers ou de masochiste si
vous voulez, mais Boston est une ville avec ses gens bizarres, chose qui manque
un peu à Newark. En tant que grande ville, Boston a bien entendu ses clochards,
ses gens désagréables/stressés, etc. Quelque part, ça me manque. :-) Boston fleure bon la ville qui a un passé (et pour cause, il s'agit de la plus ancienne des grandes villes américaines, avec New-York).

Un grand merci à B., qui a pris les photos (il y en a plein d'autres, elles sont sur Internet, mais il faut bien chercher, hin hin hin).

[1] D'ailleurs, je n'ai jamais su: on dit « un » ou « une » après-midi ?

1 comment:

  1. après-midi est hermaphrodite...on peut dire les 2 !
    Source : ma culture générale de linguiste (et le petit robert pour m'appuyer, enfin pas moi, mes propos juste)

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